Les chemins de la liberté
C’est en repoussant les frontières de nos connaissances que nous gagnons la liberté de nous articuler à nos semblables, la liberté d’épouser le flux de la vie et de coopérer au bien commun.
C’est en repoussant les frontières de nos connaissances que nous gagnons la liberté de nous articuler à nos semblables, la liberté d’épouser le flux de la vie et de coopérer au bien commun.
Quand on n’a rien à dire, on se tait ; mais quand on se tait, personne ne nous entend et si personne ne nous entend, personne ne nous répond ; et si personne ne nous répond, nous nous perdons [...]
Sans plus, sans moins, pas d’existence. Apprenons à passer de l’un à l’autre dans la joie d’être vecteur de mouvement, et l’humilité de celui qui reconnaît que nul ne peut être sans autre.
Mais lorsque tous, nous serons sans ego victime, revendicateur, compétiteur, autoritaire ou dictateur, nous pouvons enfin ensemble révéler l’égalité de l’Être.
Accepter c’est pouvoir se projeter comme acteur de changement quand subir laisse à autrui cette responsabilité.