Mais quelle histoire !
Tout élément du quotidien, tout événement est un tremplin pour la conscience.
Tout élément du quotidien, tout événement est un tremplin pour la conscience.
C’est à force de comprendre que le négatif n'est là que pour nous révéler le positif, que nous avançons en conscience.
L'innocuité est le privilège des gens qui aiment ; le privilège de celles et ceux qui ne se sentent pas séparés de l'ensemble et qui œuvrent au bien commun.
Estime-toi heureux de te délivrer des envies et des plaintes du moi, car le moi fort de lui-même souffre de ne pas être le tout.
Aujourd’hui, c’est cadeau. C’est l’occasion d’offrir le meilleur de nous-mêmes, de le faire croître pour soutenir cet éveil de lumière que l’hiver inlassablement, impulse chaque année.
À toi de jouer, car nul ne va gratter à ta place la guitare de ta conscience ni même s’amuser à souffler dans la flûte de ton esprit.
Assure-toi d’évoluer et réalise que c'est en ne s'assurant pas contre l'erreur qu’on est assuré d'avancer.
Inutile donc de rester prostré sur un quai de gare ; chacun peut à tout moment prendre le chemin d’un embarquement immédiat.
L’absolu est un relatif qui s'est arrêté en chemin dans l'imaginaire des hommes. C’est un arrêt sur image, un arrêt sur mirage.
L'essentiel est dans ce que nous avons à gagner, pas pour le prendre sur ce qui appartient à l'ensemble, mais pour lui donner toute son importance.
Quand on ne s’allie que pour combattre d'autres semblables, on se salit ! Quand on s’allie pour répondre à ce qui doit être, pour œuvrer au cœur de l'humanité, on s'unit !
Sans au-delà, pas de devenir, et sans devenir, l’étau d'un déjà là, déjà su, déjà vu, d’un déjà qui confine au même. Mais l'au-delà ne se laisse pas museler, il est là, il est déjà là, même quand [...]
S’armer d’amour, c’est s’habiller le cœur pour entrer en lien avec tout ce qui existe
C’est à nous qu’incombe la responsabilité d’honnêteté, de cohérence et d’irréprochabilité.
Chaque fois que nous nous adressons à un autre, ou qu'un autre s'adresse à nous, un vecteur d’unité se propose. À nous de l’activer ou de l’ignorer !
Ne rien prendre, ne rien attendre, ne rien exiger, juste être en phase avec l'autre, avec l'Autre pour montrer que le devoir d'aimer finit par n’être plus un devoir, mais un chemin de réalisation.
Pleins de bonnes intentions et de jugements péremptoires, nous exigeons volontiers de l'autre ce que nous ne sommes pas toujours capables de mettre en œuvre pour nous-mêmes.
Pinailler c'est toujours se fixer de façon quasi obsessionnelle sur une chose que l'on dramatise au point qu’elle bouche tout l’horizon
Il faut toujours savoir sur quelle base s’organisent nos jugements, nos opérations, pour avoir une petite idée de ce qui est vrai et de ce qui ne l’est pas.
Il faut croire qu’une chose existe pour la voir, car comment voir, percevoir, concevoir l’inexistant, si ce n’est en l’imaginant, ce qui est une autre façon d’y croire et de le voir ?
Faut penser à tout, mais parfois le tout, le ptitout est si déconnecté du grand Tout, qu’on y perd son latin, quand ce n’est pas la conscience qui se perd dans les emballements quotidiens.
C’est compliqué, c'est compliqué, tout est plié ensemble dans un univers dans lequel on se perd dès lors qu’on cherche à en épouser tous les plis.
Ce ne sont pas les porteurs de valeurs qui doivent être célèbres, mais les valeurs qu'ils portent
Soigner le beau, c'est soigner le monde dans son paraître et dans son invisible.
Ce que nous étions il y a dix, vingt, ou trente ans n'est plus et si nous sommes restés les mêmes c'est que nous n'avons pas bougé d'un iota, c'est que notre force d'évolution est en berne et que [...]
Y'a pas photo et c'est tant mieux, car la vie est un grand cinéma ; elle est animée, elle nous anime et nous invite à donner ensemble notre quote-part au dessein animé.
Les problèmes à résoudre évitent l’engourdissement et l’endormissement sur nos lauriers fanés.
Apprendre par cœur c’est découvrir, se découvrir pour s’ouvrir, s’offrir, et s’épanouir.
Les secrets de famille, les secrets de société, qui n’étaient finalement que l’agir des puissants imposés aux plus faibles, n’ont plus droit de cité
Qu’est-ce qu’une insatisfaction si ce n’est un bien qui s’est fait la malle ?
Le précieux est silencieux et s'habille de mystères qui appellent notre quête pour se laisser découvrir. Il se fait inaudible pour nous inviter à l'entendre au-delà des bruits.
Quel que soit ton âge, tu es là, et ensemble nous foulons la route du temps et prenons que nous le voulions ou non, ses multiples virages.
il y a toujours un au-delà de nos cadres qu'il s'agit d'explorer si nous ne voulons pas être en deçà de nos possibilités.
Quoi de neuf dans notre actualité qui marquerait une avancée, une transformation, une naissance ou une mort ?
Quand mauvaise humeur est là, nous sommes des nombrils du monde portant toute la lourdeur de notre centre de gravité.
C'est maintenant et en maintenant sans cesse le cap du présent, que nous saisissons l'instant, ce bon moment pour vivre pleinement notre humanité.
La contagion de l'amour n'est pas l'expression d'une maladie, mais celle d'une bienheureuse attitude, qui se déploie sans compter si nous nous y donnons.
Le carême est une invitation, une proposition de voyage vers les contrées subtiles de l'être.
Nos peines sont des passages, des zones de chahut et d'inconfort qui jouent à cache-cache pour que nous les débusquions.
Il n'y a pas de forme sans fond, pas d'idée sans esprit, pas d'émoi sans ressenti, pas de relatif sans absolu, pas de rien dans le tout et pas de vrai pour l'éternité.