Attention, urgence !
Attention, l’urgence d’être ne souffre pas les à peu près. Alors, pas de précipitation !
Attention, l’urgence d’être ne souffre pas les à peu près. Alors, pas de précipitation !
Il faut de tout pour faire un monde et c’est pour ça que tu es là.
Souris à la vie et montre à chacun qu'il est toujours possible d'appréhender l'existence sous un angle positif.
Mieux vaut parfois, une bonne souffrance qui donne l'impression d'exister qu'une légèreté d'être qui pose sur le monde un regard relatif.
C’est pas parce que t'as raison que j'ai tort, c'est pas non plus parce que j'ai tort que t’as forcément raison. Non, non ! C’est plus compliqué que ça !
L'erreur est humaine, elle est un don de Dieu pour que l'humanité se fraye un chemin jusqu'à lui.
Sortir de nos prés carrés c'est accepter l'aventure et ne plus subir un destin que nous croyons maîtriser.
Quand ça brasse, c'est bon signe, mais c'est pas forcément confortable.
Le bien se propose et attend que l’on en dispose sans jamais rien imposer
L’horreur doit être déconnectée de la vengeance qui n’est qu’attitude boomerang, en mal de savoir-être.
Tout ce que tu es, résulte du chemin parcouru ; tout ce qui sera demain, résulte de ton aujourd'hui.
Même sans le drap blanc qui leur donne forme, nos fantômes ne lâchent pas la bataille du souvenir.
Même sans le drap blanc qui leur donne forme, nos fantômes ne lâchent pas la bataille du souvenir.
Il n'y a pas de bien, pas de mal, il n'y a que le résultat de l'ignorance
Tout ce que demande le Tout, c’est que nous jouions de nos atouts, pour le faire triompher. C’est son va-tout
Au-delà de nos corps, de nos noms, de nos projets, et de nos ambitions, nous sommes un petit bout de Réel en incarnation.
Savoir que quelque chose existe lui confère une présence, la présence d'un manque, perçu comme un manque de la présence.
Savoir que quelque chose existe lui confère une présence, la présence d'un manque, perçu comme un manque de la présence.
L’âme est un coach qui sème sa graine d'autonomie, non pour que nous jouions dans la cour de la conscience individuelle, mais sous le préau de nos avancées communes.
Tout élément du quotidien, tout événement est un tremplin pour la conscience.
C’est à force de comprendre que le négatif n'est là que pour nous révéler le positif, que nous avançons en conscience.
L'innocuité est le privilège des gens qui aiment ; le privilège de celles et ceux qui ne se sentent pas séparés de l'ensemble et qui œuvrent au bien commun.
Estime-toi heureux de te délivrer des envies et des plaintes du moi, car le moi fort de lui-même souffre de ne pas être le tout.
Aujourd’hui, c’est cadeau. C’est l’occasion d’offrir le meilleur de nous-mêmes, de le faire croître pour soutenir cet éveil de lumière que l’hiver inlassablement, impulse chaque année.
À toi de jouer, car nul ne va gratter à ta place la guitare de ta conscience ni même s’amuser à souffler dans la flûte de ton esprit.
Assure-toi d’évoluer et réalise que c'est en ne s'assurant pas contre l'erreur qu’on est assuré d'avancer.
Inutile donc de rester prostré sur un quai de gare ; chacun peut à tout moment prendre le chemin d’un embarquement immédiat.
L’absolu est un relatif qui s'est arrêté en chemin dans l'imaginaire des hommes. C’est un arrêt sur image, un arrêt sur mirage.
L'essentiel est dans ce que nous avons à gagner, pas pour le prendre sur ce qui appartient à l'ensemble, mais pour lui donner toute son importance.
Quand on ne s’allie que pour combattre d'autres semblables, on se salit ! Quand on s’allie pour répondre à ce qui doit être, pour œuvrer au cœur de l'humanité, on s'unit !
Sans au-delà, pas de devenir, et sans devenir, l’étau d'un déjà là, déjà su, déjà vu, d’un déjà qui confine au même. Mais l'au-delà ne se laisse pas museler, il est là, il est déjà là, même quand [...]
S’armer d’amour, c’est s’habiller le cœur pour entrer en lien avec tout ce qui existe
C’est à nous qu’incombe la responsabilité d’honnêteté, de cohérence et d’irréprochabilité.
Chaque fois que nous nous adressons à un autre, ou qu'un autre s'adresse à nous, un vecteur d’unité se propose. À nous de l’activer ou de l’ignorer !
Ne rien prendre, ne rien attendre, ne rien exiger, juste être en phase avec l'autre, avec l'Autre pour montrer que le devoir d'aimer finit par n’être plus un devoir, mais un chemin de réalisation.
Pleins de bonnes intentions et de jugements péremptoires, nous exigeons volontiers de l'autre ce que nous ne sommes pas toujours capables de mettre en œuvre pour nous-mêmes.
Pinailler c'est toujours se fixer de façon quasi obsessionnelle sur une chose que l'on dramatise au point qu’elle bouche tout l’horizon
Il faut toujours savoir sur quelle base s’organisent nos jugements, nos opérations, pour avoir une petite idée de ce qui est vrai et de ce qui ne l’est pas.
Il faut croire qu’une chose existe pour la voir, car comment voir, percevoir, concevoir l’inexistant, si ce n’est en l’imaginant, ce qui est une autre façon d’y croire et de le voir ?
Faut penser à tout, mais parfois le tout, le ptitout est si déconnecté du grand Tout, qu’on y perd son latin, quand ce n’est pas la conscience qui se perd dans les emballements quotidiens.
C’est compliqué, c'est compliqué, tout est plié ensemble dans un univers dans lequel on se perd dès lors qu’on cherche à en épouser tous les plis.
Ce ne sont pas les porteurs de valeurs qui doivent être célèbres, mais les valeurs qu'ils portent
Soigner le beau, c'est soigner le monde dans son paraître et dans son invisible.
Ce que nous étions il y a dix, vingt, ou trente ans n'est plus et si nous sommes restés les mêmes c'est que nous n'avons pas bougé d'un iota, c'est que notre force d'évolution est en berne et que [...]
Y'a pas photo et c'est tant mieux, car la vie est un grand cinéma ; elle est animée, elle nous anime et nous invite à donner ensemble notre quote-part au dessein animé.
Les problèmes à résoudre évitent l’engourdissement et l’endormissement sur nos lauriers fanés.
Apprendre par cœur c’est découvrir, se découvrir pour s’ouvrir, s’offrir, et s’épanouir.