Ménagez-vous
Faites place nette pour accueillir la folle épopée du vivant ; comme une page vierge qui se prépare à voir s’écrire tous les possibles.
Faites place nette pour accueillir la folle épopée du vivant ; comme une page vierge qui se prépare à voir s’écrire tous les possibles.
Le pourquoi se fait lumière et rayonne à travers nous, sur un chemin où la vérité n’est plus qualité à découvrir, mais vibration à transmettre
Joli subterfuge qui fait du transfuge, un allié du vivant, un serviteur de l’union et un empêcheur de tourner en rond.
Et pourtant, sous les traits de l'horreur, de la bêtise ou de l'ignominie, vibre le cœur d'une époque formidable.
Solitude du coureur de fonds en quête de bien, de beau, de vrai, qui se doit d’interroger inlassablement l’évidence d’hier pour qu’elle ne devienne pas certitude qui arrête la course.
Que 2021 soit occasion pour tou(te)s d'entrer en chœur, en joie sur une note d'au-delà.
Pas de panique, le renouveau est là, confiné dans tous les intérieurs ; il attend d’être déniché, apprivoisé, exposé doucement pour exploser enfin à la lumière.
"C’est pas dit", mais c’est pas parce que c’est pas dit que cela n’est pas entendu, sous-entendu, mal entendu ; bien entendu !
"C’est pas dit", mais c’est pas parce que c’est pas dit que cela n’est pas entendu, sous-entendu, mal entendu ; bien entendu !
La colère est une cuirasse qui préserve de l’envie d’en finir ou d’abandonner, en mobilisant des forces pour ne pas sombrer
Sans exclamation, le texte du quotidien propose un "déjà su ", une traversée monotone, monocorde ; tout s’inscrit alors, dans un décor usuel.
L’Espoir est l’antidote de la résignation, il donne la force d’avancer vers un but qui se découvre à partir d’une vision
A priori, mieux vaut parler des évènements a posteriori qu’a priori, car a priori, nous n’en savons rien !
La beauté est dans l’œil de celui qui regarde ; la bonté et la bonne volonté dans l’intériorité de celles et ceux qui cherchent à les percevoir
La passion ligote, emprisonne et épouse la souffrance, l’amour libère des liens qui attachent pour retrouver l’unité.
L’amour n’est pas une occasion de se réjouir, c’est la joie même qui se laisse épouser.
Sans la page qui supporte les écrits, rien ne s’inscrit. Sans le silence qui porte nos bruits, rien ne se dit. Sans un bien qui trouble nos moins bien, rien ne progresse.
L’avenir du genre humain passe par cette nécessaire overdose pour que le goût des autres et de la communauté prime sur l’intérêt particulier
Ne voir midi qu’à sa porte, occulte la course permanente du soleil.
Le détail tue la vue d’ensemble s’il cherche à exister pour lui-même, et cette mort n’a rien de salutaire
Le monde est donc constitué de complémentaires qui se cherchent, se trouvent, s’unissent et font croître l’unité dans laquelle ils s’installent pour le meilleur malgré le pire.
Bouger donne l’illusion de mouvements qui dotent le quotidien de saveurs et de fadeurs diverses.
Sortir du "moi d’abord", cette posture si répandue qu’elle aliène toute vertu fraternelle au rivage du personnel
C’est en repoussant les frontières de nos connaissances que nous gagnons la liberté de nous articuler à nos semblables, la liberté d’épouser le flux de la vie et de coopérer au bien commun.
Quand on n’a rien à dire, on se tait ; mais quand on se tait, personne ne nous entend et si personne ne nous entend, personne ne nous répond ; et si personne ne nous répond, nous nous perdons [...]
Sans plus, sans moins, pas d’existence. Apprenons à passer de l’un à l’autre dans la joie d’être vecteur de mouvement, et l’humilité de celui qui reconnaît que nul ne peut être sans autre.
Mais lorsque tous, nous serons sans ego victime, revendicateur, compétiteur, autoritaire ou dictateur, nous pouvons enfin ensemble révéler l’égalité de l’Être.
Accepter c’est pouvoir se projeter comme acteur de changement quand subir laisse à autrui cette responsabilité.
toute raison coupée de l’art majeur du comprendre, court le risque du fanatisme ; l’air de rien, le service peut alors glisser vers la domination et son cortège d’attitudes associées qui parfois [...]
Nous fuyons également en restant sur place, car les plus grands évitements s’installent dans la conscience.
Ensemble, quoi qu’on en vive vers un futur qui s’inscrit sous nos pas !
C’est ensemble et collectivement que nous sommes confinés, mais c’est aussi ensemble et collectivement que nous devons avancer.
C’est ensemble et collectivement que nous sommes confinés, mais c’est aussi ensemble et collectivement que nous devons avancer.
À l’aune de nos lucidités de chenille, le monde semble courir à sa perte et l’effondrement semble inéluctable, mais que disent les papillons ?
Dans le labyrinthe de ses aveuglements, l'homme s’est approprié les ressources matérielles de son terrain de jeu en les considérant comme une manne inépuisable.
L’amour est une manifestation électrique ; il rayonne, unit ce qu’il touche et met en mouvement.
Tout ce que nous blâmons, condamnons ou dénigrons parle de nous et clandestinement d’amour !
Notre société a le cœur malade ; le « trop » comme le « trop peu » ruinent le libre échange car l’import-export se déséquilibre et ne fait plus sens.
L’amour est cette rencontre qui par la force d’attraction conduit chacun à découvrir le processus unitaire à l’œuvre dans l’univers.
Préméditons, pressentons ce qui se présente et reconnaissons-le pour le faire advenir. L’espoir est l’habit que prend le futur pour se concevoir et se faire adopter.
L’espoir est un vecteur qui envisage demain sous les couleurs de celui qui le porte. Il propose et oriente le présent en direction d’un futur dont nous sommes les auteurs.
Incarner l’espoir au quotidien c’est porter cette vision, et entendre le diapason sur lequel nous caler pour jouer notre partition dans le concert du devenir.
Si tu ne t’étonnes plus, c’est que le livre ouvert sur les savoirs, les découvertes et la route du devenir s’est refermé et que tu as rangé ta curiosité dans les méandres du passé.
Si tu ne t’étonnes plus, c’est que le livre ouvert sur les savoirs, les découvertes et la route du devenir s’est refermé et que tu as rangé ta curiosité dans les méandres du passé.