Tergiverse
Tergie verse vers l’avenir sans vouloir quitter le passé.
La rubrique de Frédérique
Rubrique à penser
Rubrique à idées
Rubrique à diffuser
Rubrique à parler
Une rubrique pour faire du lien dans l’éther du mental
Une rubrique à questions, pas une rubrique à solutions.
Une rubrique où l’on ne répond pas forcément à celle qui écrit, mais où les réactions,
les échos, peuvent devenir semences pour d’autres rubriques..
Si un mot, une phrase, une idée vous parle dans cette rubrique, partagez la…
Et voyez les chemins sur lesquels elle vous conduit.
Chemins d’accords
Chemins de différends
Chemins de rejet, d’adhésion, d’interrogation ou d’incompréhension,
Tous les chemins disent quelque chose de nous, quelque chose du monde, de nos limites, de nos espoirs,
de nos solidarités, de nos séparatismes et il importe de les parcourir à plusieurs, ensemble pour découvrir les ponts
qui nous conduiront au diapason de nos accords.
Toute union grandit.
Adressez vos courriels à : Frédérique
LES ARTICLES
Tergie verse vers l’avenir sans vouloir quitter le passé.
Quel que soit ton âge, tu es là, et ensemble nous foulons la route du temps et prenons que nous le voulions ou non, ses multiples virages.
il y a toujours un au-delà de nos cadres qu'il s'agit d'explorer si nous ne voulons pas être en deçà de nos possibilités.
Quoi de neuf dans notre actualité qui marquerait une avancée, une transformation, une naissance ou une mort ?
Quand mauvaise humeur est là, nous sommes des nombrils du monde portant toute la lourdeur de notre centre de gravité.
Nul ne peut nier qu'un bien vaut beaucoup, beaucoup mieux qu'un rien !
C'est maintenant et en maintenant sans cesse le cap du présent, que nous saisissons l'instant, ce bon moment pour vivre pleinement notre humanité.
La contagion de l'amour n'est pas l'expression d'une maladie, mais celle d'une bienheureuse attitude, qui se déploie sans compter si nous nous y donnons.
Le carême est une invitation, une proposition de voyage vers les contrées subtiles de l'être.
Nos peines sont des passages, des zones de chahut et d'inconfort qui jouent à cache-cache pour que nous les débusquions.
Il n'y a pas de forme sans fond, pas d'idée sans esprit, pas d'émoi sans ressenti, pas de relatif sans absolu, pas de rien dans le tout et pas de vrai pour l'éternité.
De "pas possible" en pas possibles, nous gravissons le mont joyeux de la fraternité, jusqu'au pic du possible.
Drôle d'existence qui oublie que nous avons un univers en partage et qu'il nous revient de le magnifier.
Pour être véritablement disponible, il faut savoir être silencieux.
Le devoir de faire progresser la vérité revient à tous, aux majorités comme aux minorités. Derrière les faits, il est des principes ; défendons-les !
Nul n'est en droit de confisquer à un autre une possibilité de choix.
Nul n'est en droit de confisquer à un autre une possibilité de choix.
Le noir est un manège qui se prend toujours pour une première quand il n'est que sempiternels recommencements.
Ce n'est pas en marchant sur la tête qu'on atteint le ciel plus facilement.
L'éminence grise est ce petit nom donné au conseiller de l'ombre qui soutient, influence et conforte les décisions prises par celui qui occupe une position ad hoc.
Et c'est ainsi que, sans faire de ronds dans l'eau, nous tournons et retournons sur les manèges de l'existence, pour finir par attraper le pompon.
Se parler, se reconnaître, se comprendre et s'accompagner pour trouver une nouvelle note est une voie qui se propose chaque fois que nous n'avons pas été à la hauteur de notre humanité.
La liberté réside dans la transmutation ; à chacun(e) de redonner au monde ce qu'il a reçu et raffiné pour l'embellir de nos souffles unifiés.
Tout ce qui reste figé aux définitions d'hier, tout ce qui reste rivé aux émois d'hier, asphyxie les potentiels qui permettraient d'inventer demain.
Il y a toujours une peur, une crainte, une appréhension qui se loge quelque part, quand la certitude intérieure d'être ne nous habite pas pleinement.
Ce n'est pas parce que c'est permis que l'on doit, que l'on peut, que l'on souhaite s'y atteler. Tout permis n'oblige pas ; il ne manquerait plus que ça !
La justesse résulte de la magie du vivant à l'œuvre, la justice de ce qu'elle en comprend.
Qui ne risque rien n'a rien, rien qui viendrait réinterroger un pan d'existence pour le rendre plus lumineux ; rien qui laisserait place à un pan d'essence pour irradier de beau ce qui se berce [...]
C'est à nous-mêmes qu'il convient de montrer patte blanche pour éviter de se fourvoyer en prenant nos loupiottes pour des phares.
Quand l'élan appuie sur la pédale de frein et que la paralysie s'installe, le "y'en a marre" prend la barre pour nous conduire droit dans le mur de l'apitoiement sur soi.
C'est la rentrée, et cette rentrée s'habille parfois de neuf quand elle ne cherche pas à maintenir vaille que vaille la même indéboulonnable attitude qui s'est forgée pignon sur rue, en jalonnant [...]
Les progrès d'hier sont le socle du monde actuel, mais les pensées d'hier ne peuvent engendrer le nouveau
L'immaculée conception invite à voir l'avenir de façon vierge, débarrassée des scories d'hier, des privilèges acquis et des peurs multiples.
Le tram de la pensée serpente et donne à la conscience l’occasion de croître ou de stagner à chaque étape du quotidien
Tout choix inscrit l’individu dans le temps, cet espace de réalisation qui voit s’écrire l’histoire de la conscience sur des feuillets qui retracent l’existence.
Si l’enflammation est une inflammation, l’illumination est une révélation.
Qui veut aller loin ménage sa monture, mais qui craint d’aller loin l’ankylose et la paralyse. Tout est toujours question de choix, de mesure et d’accords, mais tout est parfait…
Inutile s’invite aux différents étages de nos existences et vient dire, quand il se montre sans fard, qu’il est temps de revisiter les acquis pour réévaluer ce qui donne sens à l’existence.
En attendant d’un autre qu’il panse nos inconforts, nous évitons de penser et donc de comprendre l’origine de nos désagréments
Là où était le sujet hier, un groupe nominal est d’usage aujourd’hui ; la grammaire comme l’existence invite à sortir de l’isolement, de l’individualisme en globalisant.
La paix diffère du confort, même si elle semble confortable une fois les conflits apaisés. Elle est exigeante, elle n’est pas amour du bien-être, mais amour du bien commun.
l’Esprit de paix allie principe de conflit, principe de partage, et principe d’unité dans un mouvement perpétuellement changeant et expansif.
Si les phénomènes météo nous affectent, la façon dont nous les accueillons fait la pluie et le beau temps, quoi qu’en disent les apparences.
Adieu l’envie, bonjour la vie pour concourir à l’expansion, à la célébration de ce qu’elle offre, au-delà, bien au-delà de ce qui satisfait ou insatisfait les personnalités en mal de reconnaissance.
C’est en écoutant le silence que nous pouvons aborder l’avenir, loin des cacophonies d’hier, mais sa perception demande présence à l’instant et dépassement permanent.
L’essentiel est une évidence qui invite et colore le souffle d’une joie légère qui vient d’ailleurs et emplit l’ici d’un goût d’éternité.
C’est en mobilisant pleinement nos potentiels que nous nous commuons en acteurs réalisés, en êtres véritablement libres et autonomes.
L’imparfait du subjectif est le moteur qui conduit à demain en prenant la mesure d’aujourd’hui.
L’envie de tout, l’envie de rien qui pimentent la vie en plus ou moins, habillent le besoin de mille et un "inutiles", avant de la servir et de ne s’attacher qu’à l’essentiel.
Penser, c'est accueillir dans des esprits libres, sur une terre vierge sans passifs ni a priori, l'inexprimé qui vient à notre rencontre pour se laisser deviner.
Chaque avancée pour être acceptée doit être acceptable et donc permettre une écluse entre hier et demain dans le présent de la transformation
Penser, c’est initier un chemin qui mène à demain. C’est entendre au cœur du silence, une note...
Dans le silence retentissent des réponses et s’organisent de nouvelles priorités.
Comprendre que nous évoluons et interagissons dans un irréel est le premier pas pour réaliser que la réalité à laquelle nous appartenons n’est pas celle du reflet qui nous parvient.
Faites place nette pour accueillir la folle épopée du vivant ; comme une page vierge qui se prépare à voir s’écrire tous les possibles.
Le pourquoi se fait lumière et rayonne à travers nous, sur un chemin où la vérité n’est plus qualité à découvrir, mais vibration à transmettre
Joli subterfuge qui fait du transfuge, un allié du vivant, un serviteur de l’union et un empêcheur de tourner en rond.
Et pourtant, sous les traits de l'horreur, de la bêtise ou de l'ignominie, vibre le cœur d'une époque formidable.
Aimer, offrir, servir, trois infinitifs qu'il nous revient de conjuguer.
Solitude du coureur de fonds en quête de bien, de beau, de vrai, qui se doit d’interroger inlassablement l’évidence d’hier pour qu’elle ne devienne pas certitude qui arrête la course.
Que 2021 soit occasion pour tou(te)s d'entrer en chœur, en joie sur une note d'au-delà.
Pas de panique, le renouveau est là, confiné dans tous les intérieurs ; il attend d’être déniché, apprivoisé, exposé doucement pour exploser enfin à la lumière.
Nous existons au sein d’un monde, nous appartenons au monde, nous sommes venus au monde, nous habitons un monde et nous traversons le monde sans toujours réaliser l’extraordinaire de notre ordinaire.
"C’est pas dit", mais c’est pas parce que c’est pas dit que cela n’est pas entendu, sous-entendu, mal entendu ; bien entendu !
La colère est une cuirasse qui préserve de l’envie d’en finir ou d’abandonner, en mobilisant des forces pour ne pas sombrer
Sans exclamation, le texte du quotidien propose un "déjà su ", une traversée monotone, monocorde ; tout s’inscrit alors, dans un décor usuel.
L’Espoir est l’antidote de la résignation, il donne la force d’avancer vers un but qui se découvre à partir d’une vision
A priori, mieux vaut parler des évènements a posteriori qu’a priori, car a priori, nous n’en savons rien !
La beauté est dans l’œil de celui qui regarde ; la bonté et la bonne volonté dans l’intériorité de celles et ceux qui cherchent à les percevoir
La passion ligote, emprisonne et épouse la souffrance, l’amour libère des liens qui attachent pour retrouver l’unité.
L’amour n’est pas une occasion de se réjouir, c’est la joie même qui se laisse épouser.
Sans la page qui supporte les écrits, rien ne s’inscrit. Sans le silence qui porte nos bruits, rien ne se dit. Sans un bien qui trouble nos moins bien, rien ne progresse.
L’avenir du genre humain passe par cette nécessaire overdose pour que le goût des autres et de la communauté prime sur l’intérêt particulier
Ne voir midi qu’à sa porte, occulte la course permanente du soleil.
Le détail tue la vue d’ensemble s’il cherche à exister pour lui-même, et cette mort n’a rien de salutaire
Le monde est donc constitué de complémentaires qui se cherchent, se trouvent, s’unissent et font croître l’unité dans laquelle ils s’installent pour le meilleur malgré le pire.
Bouger donne l’illusion de mouvements qui dotent le quotidien de saveurs et de fadeurs diverses.
Sortir du "moi d’abord", cette posture si répandue qu’elle aliène toute vertu fraternelle au rivage du personnel
C’est en repoussant les frontières de nos connaissances que nous gagnons la liberté de nous articuler à nos semblables, la liberté d’épouser le flux de la vie et de coopérer au bien commun.
Quand on n’a rien à dire, on se tait ; mais quand on se tait, personne ne nous entend et si personne ne nous entend, personne ne nous répond ; et si personne ne nous répond, nous nous perdons [...]
Sans plus, sans moins, pas d’existence. Apprenons à passer de l’un à l’autre dans la joie d’être vecteur de mouvement, et l’humilité de celui qui reconnaît que nul ne peut être sans autre.
Mais lorsque tous, nous serons sans ego victime, revendicateur, compétiteur, autoritaire ou dictateur, nous pouvons enfin ensemble révéler l’égalité de l’Être.
Accepter c’est pouvoir se projeter comme acteur de changement quand subir laisse à autrui cette responsabilité.
toute raison coupée de l’art majeur du comprendre, court le risque du fanatisme ; l’air de rien, le service peut alors glisser vers la domination et son cortège d’attitudes associées qui parfois [...]
Nous fuyons également en restant sur place, car les plus grands évitements s’installent dans la conscience.
Ensemble, quoi qu’on en vive vers un futur qui s’inscrit sous nos pas !
Ensemble, quoi qu’on en vive vers un futur qui s’inscrit sous nos pas !
C’est ensemble et collectivement que nous sommes confinés, mais c’est aussi ensemble et collectivement que nous devons avancer.
C’est ensemble et collectivement que nous sommes confinés, mais c’est aussi ensemble et collectivement que nous devons avancer.
À l’aune de nos lucidités de chenille, le monde semble courir à sa perte et l’effondrement semble inéluctable, mais que disent les papillons ?
Dans le labyrinthe de ses aveuglements, l'homme s’est approprié les ressources matérielles de son terrain de jeu en les considérant comme une manne inépuisable.
L’amour est une manifestation électrique ; il rayonne, unit ce qu’il touche et met en mouvement.
Tout ce que nous blâmons, condamnons ou dénigrons parle de nous et clandestinement d’amour !
Notre société a le cœur malade ; le « trop » comme le « trop peu » ruinent le libre échange car l’import-export se déséquilibre et ne fait plus sens.
L’amour est cette rencontre qui par la force d’attraction conduit chacun à découvrir le processus unitaire à l’œuvre dans l’univers.
Préméditons, pressentons ce qui se présente et reconnaissons-le pour le faire advenir. L’espoir est l’habit que prend le futur pour se concevoir et se faire adopter.
L’espoir est un vecteur qui envisage demain sous les couleurs de celui qui le porte. Il propose et oriente le présent en direction d’un futur dont nous sommes les auteurs.
Incarner l’espoir au quotidien c’est porter cette vision, et entendre le diapason sur lequel nous caler pour jouer notre partition dans le concert du devenir.
Si tu ne t’étonnes plus, c’est que le livre ouvert sur les savoirs, les découvertes et la route du devenir s’est refermé et que tu as rangé ta curiosité dans les méandres du passé.
Si tu ne t’étonnes plus, c’est que le livre ouvert sur les savoirs, les découvertes et la route du devenir s’est refermé et que tu as rangé ta curiosité dans les méandres du passé.
Normal est dans le bocal de ses entendements et regarde uniquement le monde qui lui ressemble. Au-delà, Normal s'en fout car normal se ment.
La lumière nous lie au Tout, comme à tout ce qu’il contient, car elle est la Vie même.
Être fier de ce que nous avons saisi et nous en croire l’auteur, isole des autres et confine à un éprouvé de fausse supériorité avouée ou secrètement revendiquée.
La tangibilité de l’existence nous leurre, mais nous y adhérons pleinement tant nous sommes acteurs du faire avant d’être actants de l’être.
La tangibilité de l’existence nous leurre, mais nous y adhérons pleinement tant nous sommes acteurs du faire avant d’être actants de l’être.
La tangibilité de l’existence nous leurre, mais nous y adhérons pleinement tant nous sommes acteurs du faire avant d’être actants de l’être.
Faire au mieux ni plus ni moins, car le plus est tyrannique et le moins pleurnicheur.
Faire au mieux ni plus ni moins, car le plus est tyrannique et le moins pleurnicheur.
Cessons de râler, graalons ensemble pour faire advenir le meilleur, autant que dire se peut…
Demain ne peut sortir des opinions, il s’invente à partir de pensées nouvellement éclairées par la lumière, la méditation, la recherche abstraite et l’accueil de l’inédit.
La lumière alimente nos pensées, mais combien d’idées lumineuses portons-nous au quotidien ? Et qu’éclairent-elles vraiment ?
La lumière permet ainsi de meilleur en meilleur de discerner les pires qui nous conditionnent et de les transmuter en mieux, à mesure que progresse son halo.
Les opinions nous enferment dans du « déjà », les pensées nous projettent dans « l’au-delà » et la carte du futur nous tend les bras… À nous de la créer !
Les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain, il nous revient de les protéger, de les escorter et de les encourager.
En osant accompagner les enfants vers leur pleine réalisation, et non vers ce que nous pensons devoir être leur réalisation, nous acceptons la surprise et accueillons la vie et ses rebondissements.
L’interrelation conduit à la responsabilité bienveillante et au bien commun quand elle s’habille de compréhension aimante ; à l’exploitation des uns par les autres quand l’amour est égoïste.
La compréhension, la découverte réelle de nos semblables fait croître l’harmonie, car l’accueil est un sortilège bienfaisant, bienveillant, mais encore bien souvent oublié de nos relations [...]
Si tu ne fais pas confiance, ne t’attends pas à ce que les choses se passent au mieux, mais si tu fais confiance cela n’implique pas que tout ira bien !
Répéter inlassablement les mêmes gestes en oubliant de les habiter de conscience, c’est mutiler l’espace d’évolution de possibles novations particulières et collectives.
Que de dits derrière ces dits qui disent et taisent avec plus ou moins de brio ce qu’ils veulent dire ou cacher
Nous vivons dans un monde fictif qui distille ses preuves d’incontestable sur l’écran du quotidien, mais nous sommes ici-bas, mus par une conscience d’une tout autre nature.
Bah bah bah ça m’intéresse pas ! Parce que l’on ne s’intéresse souvent qu’à ce qui nous sert et nous est utile.
Savoir reconnaître l’amont des choses conduit à l’amour des choses.
Le « c'est normal » coupe de l'essentiel ; inscrit sur le manuel déjà vu, il inhibe toute avancée sur un sentier de découverte.
Jeux de mots, jeux de bien, jeux de bon et jeux de mieux à pratiquer assidûment plutôt que de jouer à gaspiller notre énergie à ne rien donner pour améliorer la communauté.
Les mots disent et quand ils disent, ils taisent tout ce qu’ils ne disent pas, se faisant défenseurs de dits et de non dits au gré de situations qui nous gouvernent ou que nous dominons.
Nous occultons souvent notre refus d'avancer pour garder belle opinion de nous-mêmes en nous arrangeant avec les geôliers que sont nos manigances, nos opacités et nos habitudes.
L'éternité, l’infinité forment le cadre de l'évolution ; elles sont l’abscisse et l’ordonnée de nos espaces de manifestations qui n'ont pour frontières que les limites de nos représentations.
Voir derrière la rancune, les germes de l’amour en passe d’éclore sur une terre de conflit, n'est pas donné à tous.
Le sérieux qui s’habille de trop, inhibe la faculté de rire de nous et colle à une réalité que l’on croit éternelle quand elle n'est que passade.
Tapies dans nos tréfonds, nos parts inavouables restent introuvables, mais n’en respirent pas moins au fin fond de nos intériorités, expulsant dans nos atmosphères, des relents qui cherchent à [...]
En se laissant surprendre, nous sortons des zones trop claires de nos habitudes pour découvrir des espaces restés jusqu’alors insoupçonnés.
Voir, aveugle quand ce qui est, cherche à se signaler en restant dans les limites du manifeste.
L’amour ne se limite pas au mot qui le parle, il passe et repasse dans nos existences, présent à chaque instant, mais nos cœurs fermés ne le perçoivent que par intermittence.
La multiplicité vient de l’Un ; tout se touche ; tout nous touche sans que personne ne puisse être mis sur la touche, quoi qu’on en dise.
Sommes-nous des porte-bonheur, des porte-malheur, ou des portes qui permettent de pénétrer plus avant notre capacité créatrice pour inventer demain ?
L’anagramme de « victoire », « cite voir » pour mieux nous dire que nul ne sort victorieux d’une épreuve s’il n’en voit pas le sens.
Tout est merveilleux pour celui qui sait encore s’émerveiller, s’ouvrir et sortir de ses zones d’habitudes, de confort, de plaisirs, de douleurs ou de turbulence.
L'écoute c'est aussi, ce qui nous met en phase avec l'autre, avec l'avenir, avec l’inconnu et nous secrète à l'oreille ce que la vie cherche à nous présenter.
S’il suffisait d'écouter pour que l'accueil devienne réel, pour que la paix s'installe sur toutes les zones où pénètre le son, un ordre élégant, fraternel serait déjà en place.
Sur la balance du cœur tout ce qui est léger, élève. Laissons choir les poids sans crainte de disparaître. La légèreté de l’être s’en trouvera grandie et le monde apaisé.
Sur la balance du cœur tout ce qui est léger, élève. Laissons choir les poids sans crainte de disparaître. La légèreté de l’être s’en trouvera grandie et le monde apaisé.
Il y a toujours un indice, au royaume de l’autre, qui enseigne et nous porte sur les rives d'un possible encore inexploré.
Quand nous réalisons que le bon n’émane pas, n’émane plus de l’extérieur, le désir s’estompe et semble disparaître ; et nous voilà, en panne sèche sur la route du devenir.
Chacun fait de son mieux ; le reconnaître permet de regarder l'autre, de se regarder soi-même, de regarder le monde sous un angle nouveau.
Qui se souvient chaque matin, qu’il nait, qu’il n’est que parce qu’un univers le porte ? Si l'autre grand ou petit n'était pas, quelle serait notre réalité ?
… Le savoir aide à nous déprendre de certaines situations, même si nous continuons à nous méprendre allègrement.
Apprendre sans cœur sépare, quand apprendre par cœur rassemble, invite chacun à reconnaître sa place, puis à l’occuper pleinement pour progresser en chœur.
Nul n’est autosuffisant, quoi qu’on en pense. Richesse sans générosité n’est que pauvreté qui s’ignore.
Le cœur accueille, la tête dirige. Toute direction sans cœur porte en elle un côté destructeur ; tout bain de cœur sans direction confine à une relative inertie.
C’est d’Eros que tous les héros et les héroïnes tirent leur force et leur existence ; nous sommes les fruits de l’amour, nous aimons sans le savoir, puisse la lumière le révéler !
Chacun peut, au cours de ce mois où les nuits s’étirent et privent les jours de leur plein éclat, faire croître sa lumière intérieure.
L'opportunité de s’offrir, l'opportunité d'unir, l'opportunité de tirer leçons de toute situation en pénétrant sa face cachée, donne à chacun, matière à servir l'ensemble sans qu'il n'y paraisse.
Osons rêver et passer du « je dors » de l'endormi au « jeu d’or » que chacun peut prendre en route pour concourir à l'émergence joyeuse de notre lumineuse communauté.
L'importun a toujours de bonnes raisons de s'immiscer dans nos quotidiens. Sous le masque du désir, il prend l’air de l’urgence quand il est superflu en habit d'importance.
Tirons-nous vers le haut et avançons léger. C'est la leçon des migrations choisies, la leçon des avancées possibles de notre humanité.
La véritable vision est intérieure, elle provient d'un ailleurs indescriptible mais pourtant familier où les mots n'ont pas encore pris place
L’automne questionne le bien fondé de nos pensées, de nos actes, de nos paroles. Il vient déranger la légèreté de la feuille qui virevolte sans désir particulier d’atterrir quelque part.
Chercher à conformer l’autre à notre volonté, râler, voire le rudoyer quand il ne la suit pas, participe de cette loi où l’un veut dominer, triompher de l’autre.
S'enrichir c'est avant tout croître en conscience, ouvrir nos perceptions pour entrevoir le monde sous des points de vue toujours plus larges, le comprendre et participer à son évolution.
Tant que nous aurons peur de l'autre, tant que nous aurons peur de perdre, nous ne pourrons gagner en humanité.
Inutile de mal nous juger ; réaliser que nous ne sommes pas parfaits, donne l’occasion de nous perfectionner !
Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous et ceux que nous manquons brouillent le regard et retardent la révélation de notre éclatante fraternité.
Nos actes comme nos non-actes impriment sur l’espace social, une note particulière qui colore la société, des qualités que nous cultivons ou laissons en jachère.
Nos actes comme nos non-actes impriment sur l’espace social, une note particulière qui colore la société, des qualités que nous cultivons ou laissons en jachère.
Nos actes comme nos non-actes impriment sur l’espace social, une note particulière qui colore la société, des qualités que nous cultivons ou laissons en jachère.
La joie est cette sensation de fluidité qui danse la vie et l'instant dans un ressenti d'évidence qui amène un regard autre sur l'ensemble des événements particuliers et collectifs.
La cohérence envers soi-même est parfois une facilité pour ne pas avoir à traverser la difficile route qui doit mener le monde à nouvel ordre.
La cohérence envers soi-même est parfois une facilité pour ne pas avoir à traverser la difficile route qui doit mener le monde à nouvel ordre.
Parfois, ce sont les envers de nos qualités qui surgissent, mais qu'importe ! Tout envers a un endroit et le seul fait d'identifier l’envers ouvre la voie pour retrouver l'endroit.
Si nous prônons l'ouverture, l'altruisme et la solidarité, il reste souvent un arrière-fond d'attente de retour qui plombe les relations d'un parfum d'intérêt.
Luc provient de lux, de lumière et c’est un luxe que de vivre toute rencontre dans la dimension altruiste de l’amour, plutôt que dans l’isolement des satisfactions particulières prises au sein [...]
Luc provient de lux, de lumière et c’est un luxe que de vivre toute rencontre dans la dimension altruiste de l’amour, plutôt que dans l’isolement des satisfactions particulières prises au sein [...]
C’est en se mettant aux manettes de nos existences pilotées par le regard de nos essences que nous nous mettons à l'ordre de ce qui doit être.
C’est en se mettant aux manettes de nos existences pilotées par le regard de nos essences que nous nous mettons à l'ordre de ce qui doit être.
Quelle attitude juste, quelle pensée juste, quelle parole juste quand il s’agit de tenir notre note sans condamner qui que ce soit, ni cautionner n’importe quoi ?
C'est en s'approchant les uns des autres que nous pouvons voir le meilleur surgir ou le pire qui n'est autre qu’un meilleur qui se cherche en s'égarant du côté de l'obscur.
Dans nos officines secrètes, nous savons cependant que le hasard habille de son vocable ce qui semble inexplicable.
À vouloir correspondre à l'équilibre de l'autre, on se trompe de destin.
Le Nous parle d'amour, le Nous acte l'amour, le Nous donne à l’amour une continuelle occasion de grandir et d'emplir l'univers de sa force.
Habiter l'existence dans l’enthousiasme, c'est honorer la Vie, s'habiller le cœur pour faire de chaque instant l'occasion de servir l'amour
La nécessité d'inclure suinte de notre dimension essentielle !
S’éveiller à l'autre, s’éveiller à l'Autre exige une disponibilité intérieure, un espace d'accueil, qui témoigne de notre vulnérabilité.
Un monde sans différences est un monde stérile. Et c'est là qu'apparaît l'urgence de sortir d'une pensée unique qui ne peut être que mortifère.
Seul ce qui est peut être actualisé, vit dans l'air du temps. Hier est l'origine d'aujourd'hui, demain son futur.
Le risque de nous tromper est grand quand nous ne nous référons qu'à nous-mêmes
Faire, occupe. Faire, éprouve. Faire, évite parfois de nous rencontrer. A quoi sommes nous reliés dans nos « faire » ?
Reconnaître notre ignorance est toujours une marque de sagesse.
En fonction du niveau où se niche le doute, il est source d'avancée ou d'immobilisme.
À ne pas vouloir quitter un rond-point par crainte de se tromper de voie, nous pouvons tourner en rond longtemps !
Nous sommes tous indispensables à la réalisation de ce qui doit être. L'oublier sert d’alibi à l'inertie qui laisse aux autres le loisir du travail.
A tout instant, à tout niveau, l'union existe. Elle est si naturelle qu'elle s'efface comme l'écran sur lequel tout s’inscrit.
Le «c'est pas juste», «c'est pas ça», «ça ne va pas», permet d’inscrire au présent les transformations que nous voulons apporter au monde auquel nous contribuons.
Le «c'est pas juste», «c'est pas ça», «ça ne va pas», permet d’inscrire au présent les transformations que nous voulons apporter au monde auquel nous contribuons.